L’état de santé du président algérien, Abdelmadjid Tebboune, est devenu un sujet de grande ambiguïté malgré les tentatives de la présidence algérienne de cacher la nature de sa maladie, qui n’a pas réussi à détourner l’attention de lui même après son transfert en Allemagne, après que les médias algériens ont rapporté que l’homme souffrait d’un «accident vasculaire cérébral» et que la restauration de Ses pleines capacités de santé sont aujourd’hui mises en doute, ce qui rappelle le scénario de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika, qui « dirigeait » le pays en fauteuil roulant.

Hier, vendredi, un journal électronique algérien francophone a cité « des sources très proches du personnel médical qui accompagnait le président à l’hôpital militaire d’Ain Na’ja », comme il le décrivait, que les premières indications d’un état de santé semblent être « inquiétantes », ajoutant que l’homme est menacé de l’incapacité de retrouver son potentiel physique. Dans son intégralité, après des complications résultant de son infection par le Coronavirus lui ont causé un «accident vasculaire cérébral».

Selon les mêmes sources, l’insuffisance respiratoire n’était pas le seul reflet de l’infection de Tebboune par le virus «Covid 19», mais aussi les complications cérébrales qui ont précipité son transfert vers un établissement médical plus avancé hors d’Algérie, après que l’équipe médicale a supervisé son état à l’hôpital Ain Naaja ce mardi 27 Octobre, il a subi un accident vasculaire cérébral, qui devrait souffrir de futurs troubles neurologiques en conséquence.

Parallèlement, l’Arabie saoudite a coupé le doute avec certitude sur la confirmation de l’infection du président algérien par le virus « Covid 19 », après que le palais El Mouradia et les médias officiels algériens aient évité de confirmer ce fait ces derniers jours, alors que le ministère des Affaires étrangères de Riyad et l’agence de presse officielle saoudienne ont annoncé que le roi Salman bin Abdulaziz et son prince héritier Le prince Mohammed ben Salmane a envoyé un télégramme à Taboune pour vérifier son état de santé « suite à son infection par le virus corona émergent ».

Mercredi 28 octobre, la présidence algérienne a annoncé que Tebboune avait été transféré en Allemagne afin de «subir des examens médicaux approfondis», sur la recommandation de son personnel médical, quelques jours seulement après sa mise en quarantaine, sans parler de son infection par le VIH, mais elle a indiqué que la situation sanitaire Le président de la république est « stable et pas préoccupant », soulignant que le compte Twitter officiel de Tabun a publié un jour plus tôt ses propos selon lesquels il était « en bonne santé et continuera son travail ».

Cette situation rappelle le scénario de la maladie de Bouteflika qui a subi un accident vasculaire cérébral en 2013 lors de son troisième mandat à la présidence, ce qui l’a obligé à utiliser un fauteuil roulant. Et en 2019, alors qu’il tentait de se présenter pour un cinquième mandat, le mouvement algérien a éclaté, qui s’est terminé par sa démission de la présidence.